Un constat de départ
- 90% des chercheurs disent « effectuer de manière individuelle le stockage, l’archivage ou la transmission de leurs données. »
- En 2016, on estimait que 80 % des données produites durant les 20 dernières années étaient « perdues faute de politique de sauvegarde coordonnée », tous domaines de recherche confondus.
Le dépôt des données répond à des enjeux éthiques et légaux, techniques, mais aussi d’exploitation et de valorisation de la production scientifique.